
La mairie d'Erevan a constaté que, en novembre, la qualité de l'air dans la ville se situait dans la fourchette « niveau malsain pour les groupes sensibles ». Cette information a été communiquée lors d'une réunion de travail à la mairie, lundi, sur la base des données des appareils de mesure de la qualité de l'air.
Selon les données de 184 stations de surveillance installées sur des chantiers de construction, la valeur moyenne de l'indice PM2,5 était de 142 et celle de l'indice PM10 de 64. Ces indices sont classés dans la catégorie « modéré » ou « malsain pour les groupes sensibles ».
L'administration municipale a indiqué que, pour la même période en 2024, ces indices étaient respectivement de 101 et 53.
Entre le 20 et le 30 novembre 2025, la moyenne de l'indice de qualité de l'air (AQI) pour les PM2,5 a atteint 180, correspondant à la période où la qualité de l'air s'est fortement détériorée.
Il a également été rapporté que l'analyse des données reçues des stations à la fin de la semaine dernière montrait une baisse des indicateurs par rapport à la période précédente.
Auparavant, le maire d'Erevan, Tigran Avinyan, avait déclaré que le problème de la pollution atmosphérique dans la ville durait de la mi-novembre à la mi-mars. Selon lui, les principales causes sont la situation géographique de l'Arménie et les conditions météorologiques (inversion de température, qui fait pénétrer les particules polluantes dans la région et les y maintenir longtemps).









