Le 1er décembre, à Paris, au siège de l'UNESCO, dans le cadre de la 16e réunion des hautes parties contractantes à la convention de La Haye de 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, les 136 États parties à la convention ont adopté à l'unanimité une résolution présentée par l'Arménie, intitulée « Renforcer la protection et la restauration du patrimoine culturel grâce à l'utilisation des technologies nouvelles et émergentes ».
Ce texte souligne l'importance de l'utilisation de ces technologies pendant les conflits et dans les périodes post-conflit pour préserver, protéger, documenter et surveiller le patrimoine culturel. Le document invite l'UNESCO à promouvoir la coopération internationale pour une large application de ces technologies dans le domaine de la protection du patrimoine culturel, et souligne la nécessité de renforcer les capacités institutionnelles et expertes. L'objectif est de renforcer les outils de l'UNESCO en combinant le droit, les technologies de pointe, la créativité et la coopération afin de protéger, préserver et restaurer le patrimoine culturel.
